Un monde plus juste pour des hommes meilleurs

Quel drôle de problème. Mais pas du tout idiot, plutôt bien pensé, même si je n'approuve en aucun cas tes idées économique et ton idée de représentant par commune

Il y'a déjà tellement longtemps. C'est pas sympa de déterrer ça

Je me suis arrêté à cette ligne.

J’appliquerait la réforme de mittérand visant a supprimer le semi-privée. Il est inadmissible que les français payent des impôts pour former des curés, des bonne sœur, des coincés du slip et du cerveau.

Je retire "des curés etc" mais sur l'idée qu'a eu Mittérand, je reste d'accord

Je peux commenter ton programme ou alors il n'a plus rien à voir avec ce que tu penses aujourd'hui ?

Il est très mal écrit et n'a plus grand chose avec aujourd'hui. Révolte est mort et enterré, mais commente mon ami et je te répondrais comme il se doit.

J'ajoute un volet concernant la construction dans les secteurs suivant : naval, spatial, et architectural.
Il est temps que les peuples qu'ils soient divisés en région, en nation ou en continent échafaudent à nouveaux de grands projets auquel ils peuvent s'identifier et en être fier.

Pour la construction de ces projets et pour faire plaisir à notre ami Audric , je propose la suppression de toutes les aides versés, que ce soient les aides pour l'agriculture, le chômage, l'artisanat, ou toutes les exonérations données aux industries.

L’histoire du monde et de France sera appris sans le retrait de certaines pages…on apprendra la terreur comme la réhabilitation (vengeance des nobles), la commune…
On apprendra le marxiste au lycée, il n’est pas normal que les élèves apprennent cela en Fac d’économie alors qu’il est présent en suisse par exemple dans les cours de lycéen.
L’anarchie sera étudié, le capitalisme, le libéralisme….
[...]les écrit des plus grand philosophe seront étudié :Platon ; Descartes, Marx, Bakounine, et d’autres ayant des idées complètement inverse…

Ce serait possible si à l'école primaire on insiste réellement sur l'apprentissage du français. Les professeurs ne peuvent pas faire étudier les grands auteurs/philosophes s'il faut constamment faire des rappels sur l'orthographe, la syntaxe et la grammaire. Avant de penser à ouvrir sur une réelle étude des Grands, je pense qu'il faudrait insister pour que les élèves sachent écrire réellement et aient une connaissance poussée de la langue française. Aujourd'hui, on voit très bien qu'au lycée les professeurs ne peuvent pas réellement ouvrir leur cours sur de vraies réflexions puisqu'ils ont en face d'eux des élèves qui n'ont pas la langue pour s'exprimer et qui en plus de ça n'ont absolument aucune culture. C'est vraiment un changement global qu'il faudrait opérer : arrêter d'apprendre une langue dès le CE2 alors qu'on ne maîtrise même pas la sienne, arrêter les cours superflus d'ouverture vers les autres cultures et consacrer au moins 3/5 du temps scolaire à l'apprentissage de la langue. C'est la seule manière d'arriver à ce qu'ils puissent fournir une réflexion.


Sur le reste du programme, je crois avoir déjà compris que tu avais (heureusement ) évolué depuis. Donc je me permets d'ouvrir une discution uniquement sur le sujet de l'orientation à prendre pour l'école.

Je suis entièrement d'accord avec toi. J'ai une véritable rancœur contre l'EN car je dois rattraper aujourd'hui beaucoup de lacunes, que ce soit en français, en philosophie, en mathématique et même en histoire ou pourtant, j'étais bon élève (Et y'a du boulot).
Tu fais une petite erreur, je ne parle pas de l'étude de grands auteurs mais d'apprendre l'histoire de France dans sa globalité. On pourrait faire référence au sujet d'Audric sur le passage du traité de Versailles. On m'a appris que l'on a fait signé un traité extrêmement dur au Allemands après la victoire de 1918 mais l'on ne m'a pas m'informé que ce traité était celui que nous avions dû signer en 1871. Je l'ai appris plusieurs années après et tout ce temps, je me suis dit que nous avions contribué à la montée du nazisme en leur faisant signer un traité sans véritablement avoir la légitimité suffisante.
Ceci ne va pas en s'arrangeant puisqu'aujourd'hui des pans encore plus important sont enlevés de l'instruction national et sont remplacés par l'étude de deux sociétés du fin fond du monde dont l'enseignement se relève relativement pauvre.

Si je ne me retenais pas, j'y verrai là dedans un petit complot gauchiste

Bien évidemment. C'est encore la faute du PCF et des restes néo-staliniens en France.
Y a rien de plus bourgeois, bien-pensant et stupide que les profs en général. Ceux de "gôche", j'en parle même pas. Les mecs qui votent PS ou PC, et qui se disent contre l'Etat... Mais c'est l'Etat qui te paye connard, fait un choix à un moment, j'sais pas !

Faudra penser à passer l'EN au lance-flamme juste après le parlement.

J'ai bandé

Ah bah oui. Ce qui est marrant, c'est que je me retrouve dans beaucoup de ces analyses, donc celle-ci. J'ai toujours détesté les profs, par leur rôle social, malgré ceux qui veulent "faire mieux".
Quand je pense que je voulais faire prof.

On est deux à se retrouver dans pas mal de choses.
Mais c'est surement ce côté qui me parle le plus, et oui je suis Soralien
https://www.youtube.com/watch?NR=1&feature=endscreen&v=1nwbRlcFKyk

Tu fais une petite erreur, je ne parle pas de l'étude de grands auteurs mais d'apprendre l'histoire de France dans sa globalité.

Je n'ai pas été assez clair : mais ça l'était tout à fait dans mon esprit. Pour moi, c'est lié. Et je te rejoints sur ton analyse sur le traité de Versailles et sur les parties de l'Histoire que l'on saute. Ce qui est grave, c'est que non seulement on évite certains passages, mais en plus, on axe les cours sur de grandes problématiques et on ne s'arrête pas réellement sur les faits notables. Résultat : aucune vision globale de l'Histoire.

Y a rien de plus bourgeois, bien-pensant et stupide que les profs en général.

Je te trouve très dur. Je ne trouve pas que la qualificatif de "bourgeois" soit négatif appliqué aux professeurs pour la bonne raison que j'aime la culture bourgeoise que certains ont cherché à abattre par égalitarisme. "Bien-pensant", tu as raison. "Stupide", je dirais que plus ils sont jeunes, plus ils le sont ; il y a d'immenses différences entre les vieux profs, et les jeunes profs.

La culture bourgeoise, c'est celle qui a applaudit quand on a massacré les Communards de Paris, celle qui a envoyé nos arrières grands parents dans les tranchées et j'en passe. Désolé de ne pas m'y sentir solidaire, bien qu'elle est importante, ça reste une culture contre notre classe.
Voilà pourquoi à chaque table de presse que je fais, tu trouves des bouquins qui parlent de nous, de nos conditions et pas d'idéalisme ou de mépris social.

Je te trouve très dur. Je ne trouve pas que la qualificatif de "bourgeois" soit négatif appliqué aux professeurs pour la bonne raison que j'aime la culture bourgeoise que certains ont cherché à abattre par égalitarisme. "Bien-pensant", tu as raison. "Stupide", je dirais que plus ils sont jeunes, plus ils le sont ; il y a d'immenses différences entre les vieux profs, et les jeunes profs.

Regarde la deuxième vidéo de Soral et sur les métamorphose qu'a subit la culture bourgeoise.

La culture bourgeoise, c'est celle qui a applaudit quand on a massacré les Communards de Paris, celle qui a envoyé nos arrières grands parents dans les tranchées et j'en passe. Désolé de ne pas m'y sentir solidaire, bien qu'elle est importante, ça reste une culture contre notre classe

Pas seulement, l'élite à une époque s'imposée et imposer une certaine conduite. Une morale.

les métamorphose qu'a subit la culture bourgeoise.

Et quelles métamorphoses !
Manque le renouvellement des élites si cher à Paretto.

C'est sans fin Troska
Ça reprend la discution qu'on a déjà eu sur le Titanic et le Concordia.

Désolé de ne pas m'y sentir solidaire, bien qu'elle est importante, ça reste une culture contre notre classe

Je place la littérature au dessus de la politique et de toutes les considérations qui en découlent.

Pas pour moi. Les idées dominantes sont celles de la classe dominante.
Toi tu places au-dessus parce qu'on te l'enseigne, alors que ces idées ne sont pas les nôtres, elles nous sont imposés.

Il y a quelque chose que j'aimerais que tu comprennes.
Quand j'aime un livre, c'est d'abord parce que le style me plaît. L'aspect politique ne vient qu'en arrière plan. Quand tu lis les Mémoires d'Outre-tombe de Chateaubriand, le personnage est quelqu'un d'éminemment énervant ; quelqu'un de prétentieux, vaniteux, méprisant, mais le style, quand on aime la littérature, est si magnifique que tu te moques un peu de ce qui t'énerves au premier abord.
Je ne place pas la littérature au-dessus parce qu'on m'a enseigné de la placer là-haut afin d'être aliéné par les idées bourgeoises qui l’imprègnent. Je l'y place parce que j'aime les mots, j'aime la langue française ; et je trouve que dés que l'on parle politique, aussi intéressant que ce soit, c'est moins plaisant.

Tu ne m'as pas compris. Je ne parle pas de bouquin parlant de politique, mais de voir à travers les oeuvres littéraires, les idées qui y sont sans forcément qu'on considère ce bouquin comme "politique". Il est stupide et insensé de croire que toute production intellectuelle d'une classe précise n'est pas expressément réalisé pour exprimer un point de vue, romancé ou non, politique ou non, donc diffuser des idées ou des impressions à travers des personnages et dans le narratif pur.
Tu essayes de décoller l'aspect idéologique et la littérature, or dans une société de classe, ou les idées des classes dominantes sont imprégnés absolument partout, ça ne tient pas debout. Quand des intellectuels radicaux ou autres écrivant, ils font de la littérature populaire, ils se mettant à dos simplement les idées dominantes. Quand une classe sociale produit de la musique, de la littérature ou d'autres choses artistiques, ça a un but précis et idéologique. Déconné l'Art dans une société bourgeoise de l'idéologie, c'est se voiler la face sur bon nombres de concepts et sur la pourriture intellectuelle qui nous ronge...

Ce n'est que mon humble avis, bien évidemment.

Je suis à l'ouest avec l'expression d'un ligne de conduite qui a changé au fil du temps.

Je t'avais tout à fait compris. Je ne parlais pas non plus de bouquins politiques : je parlais bien d'oeuvres romanesques (pour faire vite). Ce que tu dis est évident sur l'aspect idéologique des livres. Et ma réponse - que j'ai déjà donné dans ma réponse précédente - c'est que je m'en moque puisque ce que j'aime avant tout : ce sont les mots.
Je ne me plaçais pas du tout dans un débat de cette teneur.

On rate le potentiel énorme de la propagande... Mais bon.