Re: L'immigration est elle vraiment un problème ?

par Révolte Sam 24 Nov - 16:25

La poursuite de notre politique d'immigration nous menera de plus en plus faire une société communautaire, et personne ne trouvera son interêt la dedans.

par kind of blue Sam 24 Nov - 18:25

Elline a écrit:Si la cohérence est là parce qu'il y a immigration et immigration. Evidemment, économiquement parlant, on a besoin des immigrés mais pour les employer, il faut qu'ils soient un minimum intégrés ! Après, je résonnais surtout sur l'aspect de leur intégration dans la société et des tensions que cela crée.

meuh non mon cher ! c'est tellement mieux des ouvriers sans culture et dociles à souhait ! on n'a plus besoin de payer au smic ou faire appliquer les lois salariales puisqu'ils ne connaissent pas leurs droits !!

ah ah ah ... c'est moche hein?

par Elline Sam 24 Nov - 22:09

Oui c'est moche, mais le problème c'est qu'ils l'acceptent ! Il savent très bien ce qui se passe mais le truc c'est que leur situation ne risque pas de changer s'ils acceptent d'avoir des emplois dont personne ne veut, et les conditions qui vont avec.

par Docteur Saint James Sam 24 Nov - 23:09

Elline a écrit:Oui c'est moche, mais le problème c'est qu'ils l'acceptent ! Il savent très bien ce qui se passe mais le truc c'est que leur situation ne risque pas de changer s'ils acceptent d'avoir des emplois dont personne ne veut, et les conditions qui vont avec.

Donc c'est la fautes des pauvres s'ils sont pauvres ? Salauds de pauvres !

Révolte a écrit:La poursuite de notre politique d'immigration nous menera de plus en plus faire une société communautaire, et personne ne trouvera son interêt la dedans.

Il faudrait déjà commencer par arrêter les fantasmes à ce sujet.

par Camarade Troska Dim 25 Nov - 8:50

Donc c'est la fautes des pauvres s'ils sont pauvres ? Salauds de pauvres !

par kind of blue Dim 25 Nov - 9:22

Elline a écrit:Oui c'est moche, mais le problème c'est qu'ils l'acceptent ! Il savent très bien ce qui se passe mais le truc c'est que leur situation ne risque pas de changer s'ils acceptent d'avoir des emplois dont personne ne veut, et les conditions qui vont avec.

ah la la ... t'as quel âge pour tenir un raisonnement comme ça ?
tu crois qu'on va leur proposer quelque chose d'autre ? tu crois qu'on va les laisser faire un travail normal?

quand bien même ils refuseraient ce travail , il leur reste quoi ? le rsa? on vit à moitié avec >.> , si ils veulent manger , il faut qu'ils travaillent , quitte à avoir des boulots comme ça.

mais bien entendu , le problème dans tout ça , c'est eux hein >.>?

par etienne911 Dim 25 Nov - 13:24

Je me souviens que sous Sarkozy,il y avait des sans-papiers exploités à l'élisée même,et que sous Chirac l'état exploitait des salariers immigrés
sur les chantiers de saint Nazaire pour le fleuron de la marine nationale...

Je constate que les partis contre l'immigration sont ceux qui l'exploitent le plus.

par vince Dim 25 Nov - 14:20

Par conséquent, le problème ne vient pas de l'immigration... Mais de ceux qui les exploitent, et ça, c'est inacceptable.

Allez ! Un petit passage d'humour !

Donc c'est la fautes des pauvres s'ils sont pauvres ? Salauds de pauvres !

La traversée de Paris !

"N'avez pas honte d'exister !"
https://www.dailymotion.com/video/xlbjk_la-traversee-salauds-de-pauvres_fun

par etienne911 Dim 25 Nov - 14:28

Salauds de pauvres,c'est du Coluche!

par vince Dim 25 Nov - 14:30

Oui c'est vrai aussi, mais je pense qu'il a repris un peu le film.

par etienne911 Dim 25 Nov - 20:20

Un pauvre qui va à l'église,c'est du pain béni pour les capitalistes..
Un pauvre qui va jouer au loto c'est du pain béni pour les capitalistes...
Un pauvre qui se suicide,ce n'est qu'un de moins pour les capitalistes....
Un pauvre qui devient terroriste,c'est du pain béni pour les états colonialistes....
Un pauvre qui va travailler,c'est du pain béni pour les capitalistes...
Un pauvre qui devient militant,
Un pauvre qui s'oppose,
Un pauvre qui refuse,
Un pauvre révolutionnaire....

C'est un pauvre con?

par vince Ven 30 Nov - 15:01

Non ! Un pauvre n'est rien de tout cela.

J'ai voulu ajouter une touche d'humour dans le débat. Après hein... Chacun en conclu ce qu'il veut.

Ensuite... Pour revenir au débat, ça ne tiendrai qu'à moi, je les supprimerai les pauvres !

par kind of blue Ven 30 Nov - 15:03

vince a écrit:Non ! Un pauvre n'est rien de tout cela.

J'ai voulu ajouter une touche d'humour dans le débat. Après hein... Chacun en conclu ce qu'il veut.

Ensuite... Pour revenir au débat, ça ne tiendrai qu'à moi, je les supprimerai les pauvres !

ou ptet supprimer la pauvreté , mais tout dépend ce qu'on entend par là ^^"

par vince Ven 30 Nov - 15:05

C'est ce que je pense faire ^^ supprimer les pauvres, ou la pauvreté, mais au final c'est pareil yes

par kind of blue Ven 30 Nov - 15:17

vince a écrit:C'est ce que je pense faire ^^ supprimer les pauvres, ou la pauvreté, mais au final c'est pareil

hummm , pour supprimer les pauvres , y'a un autre sens ... mais je pense pas que c'est celui que tu utilisais X)

d'façon le concept de pauvreté est assez abstrait : est ce que c'est l'homme "en dessous" de la moyenne en terme de richesse ? est ce que c'est l'homme qui n'arrive pas à se loger , se nourir ? est ce que c'est l'homme qui gagne - de X euros par mois ?

par Docteur Saint James Ven 30 Nov - 15:27

KOB a écrit:d'façon le concept de pauvreté est assez abstrait : est ce que c'est l'homme "en dessous" de la moyenne en terme de richesse ? est ce que c'est l'homme qui n'arrive pas à se loger , se nourir ? est ce que c'est l'homme qui gagne - de X euros par mois ?

La pauvreté (comme la richesse) sont des notions relatives, évidemment. Être pauvre c'est toujours avoir moins que la moyenne. Par définition il est impossible que nous soyons tous riches ou tous pauvres. Si demain, tout le monde possédait 10 milliards d'euros, on en serait pas pour autant riches car personne n'accepterait de travailler pour nous pour une paye de l'ordre du salaire moyen actuel (1700€) alors qu'il possède des milliards. La pauvreté ne peut donc jamais se définir dans l'absolu (en terme d'euros par mois ou par an) mais seulement en terme relatifs (en pourcentage du revenu moyen par exemple, ou en fonction de besoins concrets comme la capacité à se loger, se nourrir ou se soigner).

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